Timimoun 1957

Bonsoir à tous

La bataille de Timimoun opposa, de novembre à décembre 1957, les troupes du FLN et celles de l'armée française, principalement le 3° RPC, sous les ordres du colonel Bigeard.

Vers Timimoun, au mois d’octobre 1957, des goumiers désertent après avoir massacré leurs cadres européens. Les déserteurs rejoignent une unité de l’ALN. Le 8 novembre 1957, un convoi et son escorte de légionnaires sont attaqués. Le 21 novembre, les rebelles sont localisés et encerclés dans le désert du Tademaït par le 3ème RPC.

Cette scénette se situe le 21 novembre. Le sergent-chef Sentenac vient d’être blessé au premier accrochage, son chef de section, le Lt Roher, donne ses consignes avant l’assaut. Ils mourront tous les deux. Le premier de ses blessures, le deuxième par un sniper.








Voila.

Sympa la scénette, c'est des figurines du commerce ou figurines modifié par tes soins ?

les deux. Il y a un peu de tout, du Dragon, Tamiya, Hornet, Heller et Miniart pour la base

Belle mise en scène. Le travail sur les figurines est excellent.

Sympa cette scénette et un théâtre d’opération rarement traité

Salut Laurent,
pour ce joli clin d'oeil fait aux Parachutistes Coloniaux
Tu te doutes bien que ça me touche particulièrement …
" Bruno " s'il était encore parmi nous aurait été fier de ton superbe diorama.

Dédicace du Général Cann au Sch Sentenac (livre d'or de la salle d'honneur du "3") :
Le sergent-chef Sentenac, tombé à nos côtés le 21 novembre 1957 dans l'Erg occidental, non loin de Timimoun, restera pour toujours, dans nos mémoires et dans nos coeurs, l'alter égo du colonel Bigeard, notre vénéré chef de corps. Lorsque ce héros hors norme, treize fois cité et six fois blessé, tomba "sur la piste", le régiment fut frappé de stupeur et notre colonel, fait rare, un genou à terre.
Nous eûmes alors du mal à chanter "Si tu crois en ton destin", tellement ce destin nous paraissait injuste d'avoir frappé celui des nôtres qui nous semblait le plus invulnérable. Que le "3" et en particulier les sous-officiers du 3, charpente du régiment, portent haut et clair le souvenir de René Sentenac.

"Aucune bête au monde … "

D'une simplicité mais quelle idée!!!!

Magnifique !! et une guerre dont l'on ne parle pas beaucoup !!


Le Globetrotter