J'ai trouve: linfanterie regiment GD était rattaché a la 10eme Pz.
tiré du net:
Ce régiment sera engagé à Stonne ou il livrera de trés durs et violents combats. Le journal de marche du régiment en laisse le témoignage je cite : " Le nom de Stonne est entré avec du sang dans l'histoire de notre régiment ". Ce régiment est trés particulier, il se veut la facade de la HEER allemande dans ce qu'il y a de mieux, son origine est le Wach Regiment Berlin repatisé Grossdeutschland début 1939. Régiment de parade mais aussi d'escorte du Führer. Mais que l'on ne s'y trompe pas les hommes du régiment sont particuliérement fiers de leur appartenance et sont triés sur le volet (capacités physiques, "raciales" ect...), le facteur "ideologique" et le moral de la troupe est trés proche de celui des "Waffen SS" même si il appartient bien à l'armée et non à la SS (evitons bien toutes confusions). Il est particuliérement bien équipé en matériel (prioritaire dans les dotations) et ses effectifs sont complets lors de son entrée en France en mai 40... Il s'agit sans nul doute d'une unité d'élite, il comprend un effectif de 3900 hommes et est entiérement motorisé, c'est à dire transporté en camion (Opel Blitz).
Sa composition en mai 40 :
Trois bataillons d'infanterie : I./ II./ III./Inf Rgt GD.
Chaque bataillon est formé de : 4 compagnies (3 compagnies d'infanterie et une compagnie lourde (de soutient).
D'un bataillon de pionners d'assaut (troupes du genie spécialisées) le Bataillon 43.
Et d'un bataillon lourd de soutient qui comprend 4 compagnies spécifiques pour appuyer le reste du régiment :
13e compagnie canons d'infanterie légers : 6 piéces de 75* (7.5cm leIG 18).
14e compagnie anti-chars : 12 piéces de 37L (3.7cm Pak 35/36).
15e compagnie canons d'infanterie lourds : 4 piéces de 150* (15cm sIG 33).
16e compagnie de canons d'assaut : 6 canons d'assaut type StuG III B
(équipés de canons de 75*). Il s'agit de la batterie 640.
Les pertes du régiment à la fin de la bataille de Stonne un peu plus de
360 morts (hommes et officiers) et une centaine de blessés ! Sans faire une analyse satistique ces chiffres sont surprenants car la "régle" veut en général que le nombre de blessés soit deux fois (environ) celui des tués au combat. Le Rgt Grossdeutschland aurait-il payé le prix fort d'une trop grande témérité morale ???
tiré de vikipedia
Le Régiment Grossdeutschland pendant la campagne de France[modifier | modifier le code]
Le 10 mai 1940, lors du plan jaune, la plus grande partie du régiment Großdeutschland, attaché au Corps blindé Guderian à la 10e Panzerdivision. Le régiment est à la pointe de l'attaque allemande à travers le Luxembourg, afin de pénétrer en France par le sud de la Belgique.
Le 13 mai, il atteint Sedan après avoir percé dans les Ardennes et traversé la Meuse. Le régiment reste alors en réserve pour protéger la tête de pont allemande en prévision d'une contre-attaque française.
Le 15 mai, il reçoit son baptême du feu pendant les violents combats avec les forces blindées françaises durant la bataille de Stonne.
Il poursuit ensuite sa progression en direction Dunkerque, en passant par Saint-Quentin puis se trouve engagé, le 21 mai dans la bataille d'Arras, puis au sud de Dunkerque le 24 mai.
Le 4 juin, l'opération Dynamo achevée le Großdeutschland est dirigé et engagé sur Amiens, avant de poursuivre, à partir du 9 juin, l'armée français en pleine débâcle. Le régiment arrive sur l'Oise le 11 juin puis sur la Seine le 15 juin.
Le 16 juin, le régiment Großdeutschland, rattaché au XIVe Corps d'armée sous les ordres du groupement blindé Kleist, il participe aux opérations vers les Alpes et le sud de la France. Partant de Troyes, il reçoit comme objectif de s’emparer du Creusot et de son complexe industriel qu'il occupe le 17 juin, alors qu'un de ses bataillons, de pointe, parvient à Mâcon.
Le 18 juin, le régiment poursuit sa progression vers le Sud, par la Route nationale 6 atteignant Villefranche-sur-Saône en soirée ou il reçoit la mission de prendre Lyon, le lendemain, déclarée ville ouverte.
Le 19 juin vers 9h30, le GD se heurte aux défenses de Montluzin défendues avec acharnement par le 25e régiment de tirailleurs sénégalais, situées au Sud des Chères. Le régiment contourne la position par l'Est et la vallée de la Saône et font prisonniers, non loin de Chasselay, les rescapés du 25e RTS commandés par le colonel Bouriand. Les tirailleurs Sénégalais prisonniers seront massacrés, dans un champ, par les soldats du régiment Grossdeutschland et de la 3e Panzerdivision SS Totenkopf. Dans l’après-midi, le GD entre dans Lyon par la Croix-Rousse et atteint le quartier de la préfecture vers 16 heures1.
Le Grossdeutschland restera à Lyon et sa banlieue jusqu'à la création de la ligne de démarcation le 4 juillet 1940 pour être transféré à Paris jusqu'en octobre ou il sera envoyé au camp du Valdahon. Le régiment quittera la France, en avril 1941, pour la campagne des Balkans.
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